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Nederlands |
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ÉÉNENTWINTIGSTE
(21ste) LES. |
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HERHALINGSLES. |
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(1) Traduction de QUAND.
- La conjonction française "quand" se traduit normalement par als.
Als ik 's avonds geen werk heb, kijk ik graag naar de televisie.
Hij sprak altijd lang over zijn reizen, als iemand het hem vroeg.
Il parlait toujours longuement de ses voyages quand quelqu'un le lui
demandait.
Als ze klaar zijn met het werk, zal ik u verwittigen.
Quand ils auront terminé le travail, je vous préviendrai.
Cependant, quand il s'agit d'une action qui a lieu une seule fois dans
le passé (donc : les deux conditions nécessairement réunies), on emploie
la conjonction toen.
Toen ik jonq was, speelde ik graag voetbal.
Quand j'étais jeune je Jouais volontiers au football.
Die avond, toen ik het hem vroeg, sprak hij over zijn reizen.
Ce soir-là, quand je le lui demandai, il parla de ses voyages.
Dat gebeurde toen ik bij het leger was.
Cela se passa quand j'étais à l'armée. |
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(2) RÈGLES D'ORTHOGRAPHE.
- Vous avez déjà eu certaines remarques au sujet des règles
d'orthographe.
Il est utile de les synthétiser, et d'une manière différente - plus
simple d'ailleurs.
a. Voyelles brèves : Examinez les deux phrases :
a. De jongen is gezond.
b. Die mensen vertrekken soms om zes in de morgen.
Vous constatez que les voyelles brèves sont toujours représentées par
une seule lettre suivie de deux consonnes au moins.
On peut synthétiser la règle : 1 voyelle + 2 consonnes.
Quand à un mot on ajoute une terminaison commençant par une voyelle, il
faut parfois doubler la consonne finale pour se conformer à la règle
ci-dessus.
Man — mannen; ik vertrek — we vertrekken; dik — een dikke boom.
Cependant, on n'écrit jamais deux consonnes semblables à la fin d'un
mot.
C'est pourquoi, dans l'exemple b, la voyelle n'est suivie que
d'une seule consonne dans "om" et "zes". |
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b. Voyelles longues :
Ze geven verklaringen.
Er zijn talloze oude torens.
De leerling studeert aardrijkskunde.
Ze antwoorden meestal niet.
Dans les deux premières phrases, la voyelle longue est représentée
par une seule lettre; mais elle n'est suivie que d'une seule consonne.
Dans les deux phrases suivantes, on a deux voyelles; mais elles sont
suivies de deux consonnes au moins. On peut donc dire :
devant une consonne, une voyelle (1+1)
devant deux consonnes, deux voyelles (2 + 2)
De muur is hoog.
Die leraar is zeer streng.
Vous constatez ici qu'on a deux voyelles devant une seule consonne.
C'est toujours le cas dans la dernière syllabe d'un mot (et donc dans
les mots d'une seule syllabe).
N'oubliez pas qu'à la fin d'un mot on n'a jamais deux lettres
semblables;
donc: ik ga, ik versta.
Mais deux exceptions à retenir : de zee, twee. |
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(3) Emploi de TE. - Devant un infinitif, le
néerlandais te correspond en général aux prépositions françaises
"à" et "de".
Het begint te regenen. (Il commence à pleuvoir)
Ik zeg haar te blijven. (Je lui dis de rester).
— L'infinitif accompagnant certains verbes, est toujours précédé de "te",
bien qu'il n'y ait ni "à" ni "de" en français :
il s'agit des verbes schijnen, denken, wensen, hopen, geloven.
Ze schijnen te begrijpen. (Ils semblent comprendre).
Hij wenst niet te komen (Il ne souhaite pas venir).
Ik hoop een goed resultaat te hebben. (J'espère avoir un bon
résultat).
— L'infinitif accompagnant leren et helpen n'est jamais
précédé de "te", bien qu'il y ait "à" en français :
Ik leer haar zwemmen. (Je lui apprends à nager).
Ik help hem het werk doen. (Je l'aide à faire le travail).
N'oubliez pas :
a. Quand il y a plusieurs infinitifs en fin de phrase, te se met
toujours devant le premier :
Ik zeg hem te gaan spelen.
Ze denken te kunnen komen.
b. "te" se met entre les deux éléments d'un verbe séparable :
Ze hopen vroeg terug te komen. |
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(4) Avec u, on peut employer les formes de la
troisième personne du singulier.
On peut donc dire : u kunt ou u kan, u zult ou u zal, u
bent
ou u is, u heeft ou u hebt. |
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(5) PRONOM RELATIF après une PRÉPOSITION.
- Quand l'antécédent est un nom de personne, on emploie wie après
la préposition.
Kent u de man met wie ze gekomen zijn P (Connaissez-vous l'homme
avec qui ils sont venus ? ).
Dat is de juffrouw aan wie ik dacht (C'est la jeune fille à qui
je pensais).
Quand l'antécédent est un nom de chose, on emploie waar suivi de
la préposition.
Dat is een geval waaraan ik niet dacht. (C'est un cas auquel je
ne pensais pas.)
Dat is het probleem waarover ze gesproken hebben. (C'est le
problème dont ils ont parlé.) |
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(6) En néerlandais, on rencontre souvent dans les
articles des abréviations de certaines expressions.
En voici quelques-unes (nous en donnerons d'autres par la suite) :
d.w.z. (dit wil zeggen = c'est-à-dire);
m.a.w. (met andere woorden = en d'autres termes);
b.v. (bij voorbeeld = par exemple);
a.s. (aanstande = prochain);
ll. (laatstleden = passé, dernier : 20 maart ll);
d.m. (dezer maand = de ce mois);
d.m.v. (door middel van = au moyen de);
m.i. (mijns inziens = à mon avis);
o.i. (ons inziens = à notre avis). |
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(7) Dans la langue écrite, on peut employer als
au lieu de alsof.
Dans ce cas, le verbe ne va pas à la fin de la subordonnée; il y a
inversion.
Hij deed als had hij niets begrepen (= alsof hij niets begrepen had).
Ze keken ons aan als herkenden ze ons niet meer (= alsof ze ons niet
meer herkenden). Ils nous regardaient comme s'ils ne nous
reconnaissaient pas. |