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019 Livre
Un peu d'humour
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Le travail

Un fou écrit une lettre.
Le directeur lui demande:
«A qui écrivez vous?
– A moi.
– Et qu'est ce que vous avez mis?»
Le fou lui répond: «Je ne sais pas, monsieur le directeur: je ne l'ai pas encore reçue!»

– Moi, lance un homme accoudé au comptoir d'un bistrot, j'ai tous mes ennuis derrière moi.
– Vous voulez dire que vous n'avez plus aucun ennui?
– Pas du tout! Mais je suis conducteur d'un bus scolaire.

Un P.D.G. reçoit dans son bureau un de ses employés.
– Jeune homme, vous êtes entré dans cette société il y a un an à peine comme coursier. Deux mois plus tard vous étiez aide magasinier, puis chef du service des stocks. Et aujourd'hui, vous voici directeur commercial pour tout le groupe. Êtes vous content de cette promotion?
Le jeune homme répond:
– Oh, oui, merci Papa!

Un médiocre écrivain raconte:
– Désormais, j'ai la satisfaction de savoir que ce que j'écris est lu avec infiniment d'attention.
– Vous faites toujours des romans?
– Non. Je rédige les menus d'un grand restaurant.

Deux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier dit:
– Tu connais Victor Hugo?
– Non.
– T'as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Le lendemain, toujours le même:
– Tu connais Albert Einstein?
– Non.
– T'as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Le surlendemain, ça recommence:
– Tu connais Karl Marx?
– Non.
– T'as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Alors l'autre tout énervé dit:
– Et toi, tu connais Jean Dupont?
– Non???
– T'as tort, c'est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir!

Le président d'un tribunal, après avoir fait décliner à un prévenu ses nom, prénom, âge et profession, ajoute:
– Vous avez donné un coup de pied dans le ventre de votre belle mère, n'est ce pas?
– Ce n'est pas de ma faute, monsieur le Président: elle s'est retournée!

Le directeur d'une galerie de peinture téléphone à un artiste:
– L'exposition de tes œuvres a attiré l'attention de gens malhonnêtes. La galerie a été cambriolée, cette nuit.
– C'est la gloire! s'écrie le peintre.
– Euh…oui et non. Parce que je dois t'avouer qu'ils ont laissé tes tableaux en se contentant d'emporter ce qui a de la valeur: les cadres.

C'est un homme d'affaires qui est en vacances en Afrique. Il voit un pêcheur qui revient avec un poisson. Il admire sa prise et lui dit:
– C'est le bonheur. Tu retournes en chercher? Je vais avec toi. Il faut que tu m'expliques comment tu pêches.
– Retourner en chercher!… mais pour quoi faire?
– Mais parce que tu en auras plus.
– Mais pour quoi faire?
– Mais, parce que, quand tu en auras plus, tu en revendras.
– Mais pour quoi faire?
– Parce que, quand tu l'auras vendu, tu auras de l'argent.
– Mais pour quoi faire?
– Comme ça tu pourras t'acheter un petit bateau.
– Mais pour quoi faire?
– Ben, avec ton petit bateau tu auras plus de poissons.
– Mais pour quoi faire?
– Eh bien, tu pourras prendre des ouvriers.
– Mais pour quoi faire?
– Ben, ils travailleront avec toi.
– Mais pour quoi faire?
– Comme ça tu deviendras riche.
– Mais pour quoi faire?
– Comme ça tu pourras te reposer.
– Mais… c'est ce que je vais faire tout de suite…
 
Un peu d'humour